Blog

Nos enregistrements vinyles de référence

  |   Non classifié(e)   |   1 Commentaire

Quelque puisse être notre conception et signification personnelle de ces fêtes de fin d’année, nous souhaitons avant tout à chacun(e) de vous de vivre des moments de pleine humanité, où l’autre, en tant qu’être humain, ne peut être perçu que comme notre alter ego et non comme une menace quelconque. Il en a toujours été ainsi et ce bon sens doit demeurer.

Puisse la musique contribuer à nous rapprocher et non à nous déchirer.

 

 

Après avoir exploré cet été les possibilités offertes par nos amis de chez Qobuz, concernant nos coups de cœur sur leurs albums numériques, nous revenons pour un second opus réservé aux disques vinyles.

 

Avant toute chose, les choix que nous avons opéré ne sont franchement pas fermés.

Il s’agit ici d’une sélection qui reste bien éthérée au regard de ce que nous pourrions faire valoir sur nos coups de coeur et bien évidemment sur ce que nous concevons en termes d’enregistrements de référence.

 

Notre proposition est donc loin d’être limitative et pourrait faire l’objet d’ajout et de débats ô combien nombreux sur cette question.

 

 

Nous dirons donc que nous cherchons ici à faire découvrir notre sélection par rapport à des appréciations que nous essaierons de délivrer en toute objectivité. Nous sommes conscients toutefois que notre objectivité reste toute personnelle…

 

 

Nous éviterons également de filtrer ces choix à l’aune des matériels qui pourraient être utilisés. Ce serait ajouter un autre débat dans le débat.

Il est évident que les résultats sonores dont nous vous ferons part, peuvent faire l’objet de sacrées variations selon la nature de la platine vinyle qui sera utilisée et plus encore, au niveau de sa cellule de lecture.

C’est la raison pour laquelle nous ne parlerons pas ici d’équipements, sinon de dire que notre choix est issu de l’écoute de ces supports sur plusieurs matériels.

Notre sélection propose donc une égalité sonore de bon aloi, quels que puissent être vos propres systèmes d’écoute.

 

 

Libre à vous de nous confier vos coups de cœur également. Nous en serons ravis.

 

 

Un dernier point qui a, par contre, une autre importance.

Celui de la version du support musical.

Comme vous le savez probablement, la production des vinyles, actuelle comme par le passé, n’a pas toujours été exemplaire. Vous prêterez donc une attention particulière aux versions dont nous parlerons.

 

 

 

 

Histoire de commencer ce tour de piste, nous allons évoquer un album bien connu – version d’origine s’il vous plaît – Oscar Peterson Trio – We get Requests.

Bien sur cet album est un truisme à lui tout seul. La prise de son n’est pas forcément la meilleure dans l’univers très vaste du vinyle, mais cet album n’en est pas moins un symbole, un ambassadeur de ce support.

Si la notion de fraîcheur en termes de reproduction musicale ne vous est pas étrangère, alors vous ne vous étonnerez pas du peps du vinyle, cette immédiateté de la musique, le caractère aérien des notes qui y sont distillées. L’ambiance y est ici unique, bien supérieure à tous les autres supports musicaux. Pour ceux qui connaissent ce vinyle original, nous pensons qu’ils ne nous contrediront pas lorsque nous affirmons que la contrebasse à une présence et une densité remarquable. La sensation de profondeur et de hauteur sonore sont toutes aussi remarquables. La justesse de la bande sonore est un régal sans égal.

Pour ceux qui seraient intéressés d’acquérir ce support, nous ne pouvons que mettre en garde sur les rééditions qui sont disparates. Les rééditions dites « remasterisées (si, si, ils ont osé pour le vinyle) sont probablement les plus fades. De la même manière, favorisez pour le moins des supports de 180 à 200g, histoire d’avoir une gravure correcte.

Malheureusement, rien ne vaudra le vinyle d’époque…

 

 

Oui, il est tout à fait possible de rencontrer des pressages actuels qui sont corrects.

Pour vous en convaincre, nous vous invitons à écouter l’album Mezzanine du groupe anglais Massive Attack.

L’apport du vinyle est ici plus subtil par rapport aux autres supports audio, mais la différence n’en est pas moins intéressante.

Alors bien sûr, d’éventuels détracteurs pourraient nous dire que le vinyle n’est pas en capacité de venir explorer le registre grave comme un support numérique.

Eh bien, ce n’est pas aussi évident, croyez-nous !

La sensation globale de l’album penche vraiment en faveur du vinyle question ambiance et profondeur sonore. Les voix sont envoutantes et les harmoniques vocaux d’une plus grande richesse. Cette sensation de présence est vraiment bien restituée, et quand bien même il peut être évoqué un trainage peut-être plus affirmé sur le support vinyle – quoique – la chaleur de l’enregistrement apporte une plus-value indéniable.

 

 

 

L’album Dire Straits Love Over Gold dans sa version d’origine est incontournable à l’écoute.

Il faut noter que ce n’est malheureusement pas le cas des rééditions dont celles que nous avons écouté après coup ou que nous possédons aussi, et qui sont une catastrophe.

Certains de nos clients, à qui nous avons une écoute simultanée entre la version d’origine et celle dite « numérisée » se souviendront très bien de cet « proposition comparative » sans appel en faveur de la version d’origine.

Pour en revenir donc à cette unique version, l’écoute est ici fascinante. La profondeur des champs est sans commune mesure avec les autres supports audio. Les voix et la guitare sont riches d’harmoniques et participe à une présence hallucinante.

L’impression de respiration à l’écoute est tout juste magnifique.

 

 

 

Keith JARRET – The Köln Concert – demeure pour beaucoup d’entre nous, un enregistrement mythique et il n’est pas peu dire que son ancrage musical demeure une valeur sure.

Et bien il en est de même pour sa version vinyle que nous considérons toujours à ce jour comme la meilleure question support musical lorsque l’on évoque la version d’origine.

Il émane de ce vinyle une ambiance, une atmosphère qui à notre sens est inégalée au regard des autres supports audio.

La réverbération du piano, l’intensité des harmoniques de l’instrument est d’une richesse incroyable. Le toucher de Keith JARRET y apparait comme à la fois délicat et bien plus précis que sur les autres supports musicaux. Mais c’est surtout la spatialisation de l’enregistrement qui est remarquable ; vous savez, cette impression de se croire dans la pièce d’écoute. Comme si vous y étiez. Le jeu de l’artiste est également plus complet, les perspectives sonores plus fines entre le piano et l’artiste y apparait plus distinctement.

Certaines gravures ont par la suite ont été correctement utilisées mais n’égalent malheureusement pas le pressage original. Ce point est d’autant plus important que des pressages récents se sont révélés décevants, soit que le pressage n’était pas à la hauteur, soit ces versions dites numérisées sont venues réellement gâcher le résultat.

 

 

The Dave Brubek Quartet – Time Out – reste un grand classique. Il n’est nul besoin de dire que la qualité de l’enregistrement à l’origine contribue à la disponibilité de qualité sur les différents supports audio que vous pouvez écouter.

Si vous pouvez mettre la main sur le pressage d’origine, vous n’en serez pas moins surpris. Car c’est une autre écoute qui vous attend.

L’équilibre tonal y est en effet différent sur les instruments. Le saxophone notamment, ne sonne pas de la même manière mais est disposé dans l’espace d’une toute manière.

Il faut entendre également la richesse des harmoniques, bien supérieure ici à la production sur CD ou fichiers numérisés notamment. Enfin, la profondeur du champ sonore reste ici inégalée.

 

 

Harry BELLAFONTE at Carnegie Hall. Si l’écoute du support vinyle ici est peut-être ici plus ténue comparé aux autres supports musicaux, l’écoute du pressage d’origine révèle quelques surprises. Il est question ici, une nouvelle fois, de la profondeur du champ sonore qui est inégalée. La perspective de la salle est mieux rendue et l’étagement des dimensions sonores y apparait plus naturelle. Le fait qu’il semble exister peu de pressages différents en vinyle rendra la comparaison plus difficile sur ce support musical. Mais la différence avec l’enregistrement CD ne vous laissera aucun doute sur la supériorité du pressage vinyl.

 

 

Miles DAVIS – Kind of Blue – existe sous de nombreux formats musicaux. Etonnament, nous avons écouté des pressages vinyles récents qui donnaient plutôt bien par rapport au pressage d’origine. S’il faut reconnaitre que certains reports en CD ou en fichiers numérisés peuvent donner un bon résultat, force est de constater toutefois que les résultats d’écoute de ces enregistrements sont plutôt disparates.

La version vinyle nous semble plus cohérente globalement avec un velouté de l’instrument de Miles qui est plus subtil, plus raffiné. La réverbération globale de l’enregistrement nous apparait également plus crédible avec une extinction des notes plus réaliste.

 

 

Ella & Duke at the Côte d’Azur. Les enregistrements sur les différents supports audio étant peu nombreux au total, la comparaison avec le pressage vinyle peut paraitre plus péremptoire, il n’en reste pas moins que le support vinyle offre un sentiment de vie incomparable et une présence vocale bien meilleure.

 

 

Rachelle FERRELL – Live in Montreux – est un remarquable enregistrement à la base qui offre à l’artiste la possibilité d’exprimer tout son talent. Il faut reconnaitre que la transcription de cet enregistrement, tant sur support CD qu’en fichiers numérisés, apporte beaucoup de bonheur. La qualité de l’enregistrement au départ y contribue pleinement. On peut toutefois noter que les différentes offres sur CD sont inégales.

Il faut écouter le pressage vinyle, même sur des productions récentes.

L’équilibre tonal de Rachelle FERRELL est plus gradué et perd la pointe d’acidité des autres supports. Le caractère naturel de l’enregistrement est également plus marqué ce qui donne au final une écoute plus relaxante sans perdre la qualité de la tessiture de l’artiste. Ce caractère plus suave à l’écoute se constate également au niveau de la partie instrumentale qui apparait plus équilibrée.

 

 

Jazz at the Pawnshop. Cet album que nous considérons comme mythique – avis très personnel nous le reconnaissons- n’a à nos yeux aucune équivalence dans sa version vinyle. La richesse des harmoniques, cette sensation de présence est remarquable sur le pressage vinyle d’origine surtout. Il faut entendre le saxophone alto et la clarinette pour s’en convaincre. La restitution de l’espace sonore est incomparablement meilleure que sur les supports CD ou numérisés.

 

 

Le pressage vinyle de Lalo Schiffrin – Jazz Meets Symphonie – n’a, ici aussi, pas d’équivalent par rapport aux autres supports musicaux. La dynamique restituée par le vinyle, l’étagement des plans sonores, la réverbération globale est étonnamment naturelle, large, profonde, juste. L’extinction des notes est équilibrée et contribue à une sensation de plénitude sonore inégalée.

 

 

Thelonious Monk – Live a Palo Alto – n’est pas ici le meilleur enregistrement qui soit, mais nous aimons beaucoup la version vinyle qui apparait plus équilibrée et moins agressive que les différentes versions CD que nous avons pu écouter. Les versions numérisées apportent souvent de meilleures perspectives que sur CD. Il n’en reste pas moins vrai que les pressages vinyles, de bonne qualité même sur des pressages récents, apporte une lisibilité du jeu de l’artiste plus crédible et plus naturelle.

 

 

 

West meet East. Ravi Shankar et Yehudi Menuhin nous offrent un enregistrement atypique et d’une qualité sonore rare. Une fois encore, le pressage vinyle apporte une subtilité et une richesse des harmoniques qui rapprochent de la vraie vie. La subtilité des jeux de la cithare et du violon des deux interprètes est incomparable en vinyle et évacue totalement toute forme d’acidité à l’écoute, contrairement aux versions CD. Certaines production vinyles récentes sont plutôt de bonne qualité. Le pressage original reste toutefois unique.

 

 

Anton Bruckner – 6ème symphonie par Georg Solti  éd. DECCA. Nous ferons court ici. Le pressage vinyle d’origine, plutôt rare à trouver malheureusement est juste divin.

La supériorité du vinyle est tout simplement inouï et représente ce que l’industrie phonographique a pu faire de meilleur. Nos détracteurs pourront nous dire, oui mais le son DECCA quand même…

Il faut disposer de tous les supports audios disponibles pour cet enregistrement pour se convaincre que le report sur vinyle est tout simplement inégalé. Dès les premières mesures, on est emporté par la richesse tonale et l’impression d’espace remarquable. La subtilité de l’orchestre est époustouflante et le respect de la dynamique absolue. La rutilance des cuivres n’a pas son pareil et la cohérence des cordes est d’une absolue justesse.

La salle de concert est restituée de façon crédible et ample. Enfin, il faut écouter les dernières notes du premier mouvement de cette sixième symphonie de Bruckner pour ressentir comme jamais l’aération de la salle de concert et sa profonde réverbérance fabuleuse, comme si vous y étiez.

 

 

 

Zdenek FIBISH – symphonie n°2. Il n’existe à notre connaissance qu’un seul pressage vinyle de cet enregistrement réalisé par Supraphon d’un compositeur plutôt méconnu dans l’hexagone. Outre que les œuvres musicales du compositeur sont plutôt intéressantes, le pressage vinyle révèle une nouvelle fois sa supériorité par rapport aux supports CD ou fichiers numérisés. Le support tonal est plus subtil, et l’étagement sonore plus crédible sur le format vinyle. L’ambiance générale y apparait également plus réaliste. A découvrir.

 

 

Edward GRIEG – Peer Gynt dirigé par  Sir Thomas Beecham; éd. Voix de son maître. Nous aimons beaucoup cette version de Peer Gynt et une fois encore, le pressage vinyle d’origine fait passer à l’auditeur des choses bien différentes que les supports audios plus modernes.

L’équilibre orchestral y est mieux maitrisé que sur le support CD par exemple. Les tuttis orchestraux y demeurent plus réalistes d’un point de vue dimensionnel.

 

 

 

PUCCINI – Turandot. Direction Zubin Mehta Ed. Decca. Cette version de l’ultime œuvre (inachevée) de Puccini a longtemps été délaissée avant de regagner les faveurs des critiques musicaux et du public. Il faut écouter encore une fois la version vinyle d’origine qui offre une profondeur musicale et une ambiance plutôt différente, comparées aux versions numérisées. L’immédiateté de la scène sonore, la présence vocale plus affirmée saute à nos oreilles de mélomanes. Ce d’autant que cette version offre une tension musicale propre à cette partition qui reste de premier ordre. Les voix sont simplement somptueuses et offrent des nuances sans égales par rapport aux autres supports. A réellement (ré) écouter.

 

 

 

Barbara L’aigle noir. Une nouvelle fois, le support vinyle offre une somptuosité remarquable et nous rapproche de l’artiste ostensiblement. Que d’émotion, que de présence. L’extinction des notes est sans égale et l’espace dans lequel se déploie l’artiste est un régal.

 

 

Georges BRASSENS Les copains d’abord. Si le support vinyle ne se démarque pas autant que cela sur autres supports audios plus récents, le fait de disposer d’une bonne platine de lecture et d’une cellule de haut vol, permet de se représenter qu’il se passe inmanquablement quelque chose d’autres sur la galette noire. La proximité avec l’artiste, encore une fois, est évidente. Que d’émotion encore une fois, comparé à une froideur plus présente des autres supports musicaux.

 

 

Bob DYLAN The Times They Are A-Changin’. Le vinyle d’origine se démarque là encore des autres supports audios plus récent. La texture sonore est ici plus incarnée sur le support vinyle et la voix de l’artiste y apparait plus distincte, plus naturelle. Que du bon !

 

 

Eagles Hôtel California. Bien évidemment, l’œuvre intemporelle des Eagles a été maintes fois reportée sur l’ensemble des supports médicaux. La prise de son d’origine plutôt bien faite au demeurant, a permis aux éditeurs de proposer des enregistrements de qualité. Bon nombre d’entre vous seront probablement d’accord avec nous si nous précisons toutefois quer le « pas mauvais » cotoie le « pas bon du tout » malheureusement. Il faut avouer que les versions numérisées n’ont pas apporté de plus-value, bien au contraire.

Les versions vinyles ne manquent pas et sont tout aussi disparates…

Il faut écouter la version vinyle d’origine pour se rendre compte du travail acoustique réalisé. Les cordes sont ici d’une perfection rare et le sentiment de plénitude réel. La linéarité de la bande passante est vraiment exemplaire et il est facile de se laisser porter par les mélodies. Un must have, tout simplement.

 

 

KRAFTWERK Autobahn. Certes voilà un album qui a vieillit mais la version vinyle est incomparablement meilleure que les versions CD et numérisées. Etonnament, alors que la bande passante d’un vinyle est limitée, nous n’avons pas l’impression d’une limitation des basses fréquences qui sont ici bien restituées, bien ressenties, bien propres.

 

 

QUEEN We Are The Champion. Une fois encore, la version vinyle d’origine surclasse tout ce qui a pu être réédité ensuite. Et la différence ici est substantielle. Nous sommes d’ailleurs surpris qu’une telle perte du message sonore originelle soit devenu la règle sur les supports CD ou numérisés. Il n’en reste pas moins vrai, qu’il faut écouter cet album par le punch qu’il génère et comment il peut rendre grâce à la voix de Freddy Mercury.

 

 

Stevie Wonder Songs In The Key of Life. Que de temps a coulé sous les ponts depuis l’écoute de cette partition sur le vinyle original… En termes de qualité de pressage et de prise de son, ce n’est pas ce que les éditions phonographiques ont pu faire de mieux, c’est vrai. Mais on y trouve un délié des notes et une rondeur musicale qui change des versions numérisées plus récentes. Nous ne pourrons pas vous affirmer si les re pressages sont de bonne qualité, n’ayant pas eu le plaisir d’en écouter. Il n’en reste pas moins que la voix de l’artiste offre sur la version vinyle une chaleur unique avec une présence de la voix qui est vraiment agréable. Les accompagnements apportent également une ambiance bienfaisante qui rend agréable l’écoute des différents morceaux sonores.

 

 

Supertramp Even in The Quietest Moments. Les productions phonographiques n’ont pas toujours brillé dans la réalisation des albums de Supertramp. Il est à noter que certaines réalisations numériques ont cherché à relever le niveau mais le résultat, pour flatteur qu’il soit, éloigne malheureusement de la prise de son originale, lorsque l’on a la chance d’écouter la version vinyle orginale. Qu’en ressort-il ?

Ce qui frappe en premier lieu, c’est la tonalité du saxophone qui est placé moins en avant sur la version vinyle, avec des harmoniques de l’instrument plus subtils et un grain plus affirmé.

Les voix y sont peut-être moins précises que sur les versions numérisées, mais se fondent mieux au sein de l’enregistrement. Et puis, il y a ce petit quelque chose, cette spontanéïté qui incite à taper du pied au fil des opus de cet album.

 

 

ZZ TOP Tres Hombres. Nous terminerons cette petite plongée par nos amis Texan et la version fort réjouissante de leur opus sur vinyle. Nous ne savons pas s’il existe une version originale sur vinyle, n’ayant pas eu le plaisir d’en faire l’écoute. Mais il faut saluer les rééditions récentes qui offrent une fois encore un éclairage plutôt agréable de cet album. Nous y éprouvons à leur écoute un côté naturel agréable. Il est à noter que les graves n’y sont absolument pas ridicules et se déploient dans l’espace d’une manière particulièrement crédibles.

 

1Commentaire
  • Mabuse | Jan 7, 2022 at 22 h 06 min

    bonjour
    Dommage que vous ne donniez pas les références des Lp que vous considérez comme « pressages originaux » (se référer à Discogs par ex).
    Car il existe aussi des différences entre les pressages US,GB,FR etc.
    Il existe forcément une édition originale de ZZ top « Très hombres » (j’adore ce disque!) mais comment juger objectivement de la qualité intrinsèque de la prise de son de celui ci, traversé de larsen et fuzz en tout genre; Dans le rock ce qui parait souvent le plus « sale » devient paroxystement le plus « intéressant » ( regrardez My boody Valentine)
    A noter qu’il existe une version MCH (format largement sous estimé) de ce disque sous format DVD audio qui mériterait largement une écoute comparative
    ZZ TOP – Tres Hombres – London LON J 17206 (1974)
    7½ ips, ¼ » Quad R2R transfer to 5ch 24/96 flac (1.19GB) | DR12
    musicalement
    Mabuse

Poster un commentaire

Ouvrir le chat
Bonjour,
Pouvons-nous vous aider ?